Blog Notes

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mardi 25 décembre 2012

Mickey Newbury

Encore une autre découverte musicale. je la dois cette fois à un collègue sur le forum Shelter From The Storm. Cette découverte musicale, c’est Mickey Newbury. Je vous laisse aussi le soin de lire sa bio sur wikipedia. Mais encore une fois, comme un Sixto Rodriguez, comme un Townes Van Zandt, il fait parti de ces « perdants » magnifiques que l’histoire de la musique, et surtout que l’industrie de la muzak a laissé sur le bas coté. Et en même temps, il est de ces mêmes artistes dont l’intégrité humaine et artistique a rejeté cette industrie. Le résultat c’est une musique forte, sincère, poignante.

Comme pour Townes Van Zandt, en écoutant Newbury, on ne peut s’empêcher de penser qu’il tient à coté de lui, pendant qu’il chante, une bouteille de whisky et un pistolet (ou une corde pour se pendre). Mais comme Townes Van Zandt, il ne fait en fait que chanter « sa tristesse ».

J’ai découvert aujourd’hui Mickey Newbury au travers d’un album de reprises (un « cover » comme il est d’usage de dire). Accompagnement minimal, une guitare, un violoncelle. Et pour vous faire écouter, une reprise d’un standard éternel : « Summetime ». C’est beau, c’est poignant, c’est magnifique, c’est magique ! À ne pas écouter un soir d’intense cafard quand même. Me reste maintenant à trouver ces disques… La magie d’internet c’est de permettre de découvrir ces merveilles et de les partager, n’en déplaise à certains esprits chagrins


Sixto Rodriguez

France Inter, un matin 7h25, une chronique musicale de Didier Varrod (Encore un matin), et parfois des découvertes vraiment passionnantes. Et ce matin là, un nom, Sixto Rodriguez, une histoire étonnante, un extrait pour démarrer « Sugar Man ». Et une vraie découverte, un vrai coup de cœur. Entre 1969 et 1972, il sort deux albums - Cold Fact et Coming From Reality. Deux échecs, et pire, le label qui disparait ! Retour à une vie « ordinaire » pour Sixto Rodriguez. Et c’est là que l’histoire devient surprenante. Sans qu’il le sache, son premier album, Cold Fact, sort en Afrique du Sud, en plein régime de l’apartheid. Et son disque devient disque d’or, Sixto Rodriguez, lui devient un symbole. Ses chansons, engagées, révoltées et provocatrices deviennent un écho à la révolte des noirs d’Afrique du Sud. La suite, c’est une redécouverte progressive, un bouche à oreille élogieux. Et internet participe de ce retour de Sixto Rodriguez. Je découvre (ou redécouvre) avec un bonheur fou cet artiste. Sa chanson Sugar Man évoque en moi des souvenirs. Je pense aussi en l’entendant à Bob Dylan. Ce qui n’est pas une moindre référence. Je ne peux que vous encourager à découvrir cet artiste. Un vrai bonheur.



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samedi 15 décembre 2012

Juste en passant…

Pas grand chose à dire, ou alors trop de choses, mais pas envie de les raconter.

Juste un petit plaisir que je me suis fait sur Priceminister.

Bien sur, il ne s’agit surement pas d’ une édition « légale » (il n’y a qu’à voir les étiquettes centrales des vinyles). mais le son est impeccable, et les disques sont beaux en bleu !

Et puis commandé aujourd’hui sur Amazon en profitant d’un bon d’achat de 20€, ce vinyle :

Ça va chauffer dans les chaumières.

Bon, je vous laisse, séance cinoche tout à l’heure.

dimanche 2 décembre 2012

Les joies de la connexion internet aléatoire !

Ça continue encore et encore… Vendredi panne internet, samedi panne internet, quasiment toute la journée, aujourd’hui rebelote. Un coup ça marche, puis pouf, plus rien… Et puis ça revient, tout à l’heure, la connexion est revenue pendant 3 minutes. Et re pouf, plus rien à nouveau ! Bref, j’ ai téléphoné encore à SFR, et enfin, en principe, demain, un technicien passe. On va peut-être savoir si le problème viens de la ligne France Télécom ou de notre installation intérieure. Il faut dire que dans cette fichue baraque, tout est naze, le chauffage, l’isolation, l’électricité et peut-être l’installation du téléphone. Et comme nous ne sommes que locataire, difficile de vouloir dépenser trop d’ agent pour ça. Mais là, internet, hélas, ce n’est pas une option. Surtout en dégroupage, car pas d’internet, pas de téléphone non plus… Bref, on verra demain.